"L'huile de neem vient d’un arbre sacré d’Inde. Utilisé il y a plus de deux mille ans, il tient une grande place dans la médecine ayurvédique, on utilise toutes les parties de l’arbre à différentes thérapies, pour la peau, les cheveux, les dents… et de nombreuses maladies.
Mais c’est aussi un miracle dans l’agriculture. Car il répond à toutes les demandes à ce niveau. Fongicide, pesticide, il est même un engrais puissant. Donc un agriculteur quand il traite avec cette huile n’a besoin de rien d’autre. Contrairement à la chimie qui prévoit, un produit pour les chenilles, un produit pour les nématodes, un produit pour le mildiou …etc. Autant de maladie, autant de produits, autant d’insectes ravageurs, autant de produits, qui se retrouvent dans nos assiettes.
Des recherches ont prouvés que c’est un pesticide sélectif, il ne touche pas les abeilles, malgré la désinformation sur internet, ni les coccinelles. Les terres traitées avec le neem voient la population des vers de terre augmentée de 30%, contrairement aux pesticides qui les tuent. Les agriculteurs qui ont essayés le neem témoignent de son efficacité et constatent un meilleur rendement sur les récoltes. Alors bien sûr cela commençait à faire trop de bruit et la menace pour les produits chimiques devient de plus en plus évidente. La solution a été de la faire interdire, et on invente qu’il est un haut risque de cancer. Les services régionaux de l’alimentation l’assimilent aux déchets industriels spéciaux, et les autos proclamés experts du Ministère de l’Agriculture s‘obstinent à affirmer qu’elle aurait un profil toxicologique avéré et incontestable, sur la base d ‘études qui seraient entre leurs mains, mais qu’ils sont bien incapables de produire!
Pourtant l’huile de neem est homologuée en Australie, Nouvelle Zélande, et dans tous les pays du Pacifique, y compris en Nouvelle Calédonie, heureuse Communauté Territoriale de la République Française. Elle est même conseillée à Walis et Futuna avec le logo du ministère de l’agriculture. La suisse aussi fait la promotion et le reconnait comme palliatif à la chimie empoisonneuse. Beaucoup de pays ont fait des recherches afin de pouvoir l’homologuer et tous reconnaissent ses vertus et ça non toxicité.
Le Conseil national de recherche organisé par l'Académie nationale des sciences, et agissant en vertu d'une subvention de l'Agence pour le développement international, a compilé un vaste corpus de recherches sur les nombreuses utilisations bénéfiques de Neem. Cette information a été publié sous le titre de : « Le Neem:. Un arbre pour résoudre les problèmes mondiaux »..." Lire la suite